A quoi servent vos dons

Unidentified boy from the UN Millenium village at Mayange, Rwanda. It is a village of returnees who came back to Rwanda after the 1994 genocide
Unidentified boy from the UN Millenium village at Mayange, Rwanda. It is a village of returnees who came back to Rwanda after the 1994 genocide

 

Le CPCR est une association à but non lucratif

Le Collectif des Parties Civiles pour le Rwanda est une association à but non lucratif déclarée le 23 novembre 2001 auprès de la sous-préfecture de Reims, et comme son nom l’indique, elle consacre l’intégralité de ses ressources à réaliser son objet :

Soutenir moralement et financièrement tous ceux qui, dans le cadre du génocide perpétré au Rwanda en 1994, porteraient plainte contre des présumés génocidaires et principalement ceux réfugiés sur le sol français, de se porter elle-même partie civile contre les présumés génocidaires et d’apporter aide à toute action visant à préserver la mémoire des victimes.

 

Avec des frais réduits au strict minimum

Depuis sa création, le CPCR fonctionne exclusivement sur l’engagement citoyen et le bénévolat de ses membres et dirigeants (qui financent eux-mêmes la quasi intégralité de leurs dépenses). Aujourd’hui, compte tenu des procédures judiciaires en cours et de l’accroissement des dépenses afférentes, le CPCR ne peut plus seul supporter  tous les frais à engager.

 

Aidez le CPCR à financer les frais liés aux procès

 

Vos dons couvrent les frais de justice

Vos dons permettent de rendre espoir et justice à des milliers de victimes du génocide des Tutsi au Rwanda, en servant pour l’essentiel à couvrir les frais de justice liés aux actions du CPCR. Ceux-ci sont appelés à croître fortement – mais c’est une bonne nouvelle! – car de plus en plus de présumés génocidaires seront prochainement traduits devant la justice de notre pays (un nouveau procès historique vient d’avoir lieu en France avec de lourdes dettes restant à rembourser, et de nombreux autres sont à venir).

Chaque euro versé contribue activement à rapprocher les victimes du jour où justice leur sera rendue. Il n’y a pas de petites sommes…