La Chambre de l’instruction de la Cour d’appel de Paris s’est prononcée le 13 octobre 2015 contre la remise en liberté de monsieur Octavien NGENZI, en détention provisoire depuis le 4 juin 2010. Le CPCR, qui avait eu connaissance de la présence de monsieur NGENZI sur l’île de Mayotte, avait signé une plainte pour génocide le 21 mai 2010, plainte déposée peu après. Tout comme dans l’affaire SIMBIKANGWA, c’est grâce au Procureur de Mamoudzou, monsieur BRISSET-FOUCAULT que monsieur NGENZI a pu ainsi être poursuivi en justice. Si monsieur NGENZI a passé plus de 5 ans en détention provisoire (le …
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